3 manières de limiter le stress avant de prendre l’avion
Écrit par Christian
Santé, n’ayez pas peur de consulter
Si vous êtes particulièrement anxieux à l’idée de prendre l’avion, n’hésitez pas à consulter votre médecin traitant. Si vous souffrez de claustrophobie ou d’agoraphobie, ce dernier vous aidera à vous détendre, en vous prescrivant (le cas échéant) des médicaments. Dans certain cas, la consultation est même obligatoire : Par exemple si vous sortez d’une opération chirurgicale ou que vous êtes suivi pour une maladie qui nuit à votre système immunitaire. Dans ce cas, vous devez avoir l’autorisation d’un médecin pour voyager en avion. Enfin, vous pouvez vous contenter d’une consultation préventive pour recueillir les bonnes pratiques visant à lutter contre la sècheresse (les risques de déshydratation sont accrus en altitude) ou la phlébite. Cette dernière est particulièrement répandue sur les vols longues distances. Pour l’éviter, vous pouvez recourir au port de bas ou chaussettes de contention. Une solution toni-veineuse et anticoagulante qui a largement fait ses preuves.Pas de dernière minute : Préparez-vous la veille
Le meilleur moyen de ne pas stresser le jour J, c’est de bien se préparer en amont. Si cette phrase est adaptée pour une compétition sportive ou pour le passage du baccalauréat, c’est également vrai lorsqu’il y a un vol à prendre. Ainsi dès la réservation des billets effectuée (voir avant), validez que tout est ok au niveau des papiers. Si c’est le cas, veillez à ne pas les oublier dans la poche d’un manteau le jour du départ. En revanche, si vous avez besoin de refaire un passeport (dans le cas d’un départ en dehors de l’espace Schengen), méfiez-vous des délais, vous pourriez là aussi avoir de mauvaises surprises… Démarrez les démarches au plus vite, cela vous évitera un stress inutile… Enfin, préparez les valises et les sacs en amont, ce qui est fait n’est plus à faire. Il vous manque quelque chose ? C’est toujours mieux de s’en rendre compte la veille, qu’à deux heures du départ…Les parking ne courent plus les rues : Anticipez !
Autre point sensible : le transport jusqu’à l’aéroport. Si vous optez pour un taxi ou pour les transports en commun, anticipez tout retard et/ou bouchon en prenant un peu d’avance. Vous attendrez peut-être sur place, mais cela vaut mieux que de courir dans le terminal et supplier le personnel de vous laisser enregistrer vos bagages. Même constat, si vous vous rendez à l’aéroport avec votre propre véhicule. Selon les heures, les bouchons peuvent être importants pour se rendre à Saint-Aignan-de-Granlieu. Prenez une marge… Mais ce n’est pas tout, il devient également primordial d’anticiper la problématique du stationnement. Très critiquée sur ce point l’aéroport de Nantes Atlantique offre un nombre de place limité et ses parkings sont régulièrement saturés. À tel point que le stationnement sauvage autour de l'aéroport constitue l’unique solution pour quiconque qui ne souhaite pas rater son vol ! Quant aux frais de fourrière et/ou amendes encourus, ils peuvent augmenter significativement le coût des vacances… Pour éviter de stresser avant - « Il faut qu’on trouve une place sinon, on va rater notre vol » - et pendant – « J’espère qu’on ne va pas prendre une amende » - les vacances, il existe une solution simple et économique : Le parking privé proche aéroport. La démarche est simple : Vous réservez votre parking en même temps que vos billets pour être sûr de profiter d’un stationnement sécurisé le jour de votre départ. Notre navette vous dépose juste à l’entrée de votre terminal. À votre retour, nous sommes là pour vous récupérer et vous déposer à votre véhicule. Vous voyez il n’y a pas de raison de stresser !
Par contre pensez à réserver votre parking aéroport de Nantes au moins 15 jours avant la date d'arrivée prévue. Il n'est pas rare que les parking alternatifs soient complets déjà 2 semaines avant surtout en période de vacances scolaires (février, avril, juillet, aout, octobre-novembre et décembre), mais même début septembre c'est compliqué.